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4 octobre 2011

une pro...

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j'ai eu une discussion animée avec un copain.
Il s'agissais des filles.
Il a commencé par dire:
" la Myriam, c'est une traînée. Elle pieute avec n'importe qui! "

Ce con, il rage parce qu'elle ne veut pas le faire avec lui.
Paroles qui mon rappelés des souvenirs de jeunesse ou les "gens" autour de nous (les enfants) parlaient des "femmes en cheveux" des" trotteuses" des "filles perdues" des "chiennes en chaleur" des "filles de rien".
Bon ça suffit.
Rien que d'écrire ça, c'est désagréable...
Il est vrai que souvent les filles elles mêmes:
" tu sais une telle elle se fait lu'.... c'est vraiment une salope!"
Qu'elles raisons poussent les filles à êtres "pure" ?
le mot est gènant.
Il fait penser à l'eau de javelle.
C'est dégeu! Ça donne envie de ce gratter...
Souvent j'écoute mes potes et les vantardises , toujours salaces et à leurs avantages.
Je me dis que j'ai eu beaucoup de chance.
Mon éducation sexuel je l'ai faîte avec les filles de métiers ( à l'époque: Barbés et place Blanche à Paris).
Plus tard , 18, 20 ans, j'ai continué dans les bordels en Afrique.
Maintenant vieux, je garde des souvenirs délicieux de ces filles.
Même elles, parlaient de la pureté avec comme une envie...
Je trouve que cela est un handicap pour les filles et les garçons.
J'ai connu entre deux des "jeunes filles" hum! oui bon pas terrible.
Chochottes, emmerdeuses, maladroites,pleines de préjugées imbéciles..
Sans oublier qu'elle coûtaient plus chère qu'une professionnelle.
Bah, faut les trimbaler en bagnole ,pas une pourris, puis raquer les restos, les cinoches, les boites, les cadeaux, les acheter quoi !!...
Une "prof" de bon standings , dans les années soixante, c'était cent euros la nuit..
A Pierrefitte je fréquentai une boite" le fer à cheval', là on venait danser ,discuter ,manger et boire avec elles.
Bien sur nous savions que leur boulot était de nous faire flamber notre artiche.
Mais elles le faisaient si bien...
Un jour j'en ai rencontré une non professionnelle.
Elle c'est imposée, elle c'est installée, elle c'est comporté comme un pote.
Puis elle m'a démontrée que le savoir existait chez les ouvrières.
Donc elle avait eu de bons" profs".
Elle est jamais reparti! Merci la vie...

 

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